Les Ivoiriens réclament justice pour « Grâce », une fillette de 3 ans décédée des suites d'un viol
Sur les réseaux sociaux ivoiriens, on ne parle plus que de ça. « Justice » doit être rendue à « Grâce », relaie-t-on en chœur. Ce prénom – en réalité un nom d’emprunt – est devenu malgré lui le symbole de la lutte contre les violences faites aux enfants après le viol atroce d’une fillette de trois ans, qui a malheureusement rendu l‘âme lundi.
L’affaire remonte au vendredi dernier. Bouassa Ahou Océane est enlevée dans son village de Bore-Ettienkro, à une vingtaine de kilomètres de Dimbokro, dans le centre du pays, alors qu’elle s’amusait avec des amies. Les recherches entreprises pour retrouver la fillette vont s’avérer infructueuses jusqu’au samedi. Elle est alors retrouvée dans les broussailles à quelques kilomètres de son village, visiblement mal en point. Aux premières constatations, la fillette âgée de seulement 3 ans, a été victime d’un viol atroce, ses parties génitales étant totalement endommagées à vue d‘œil.
Elle est aussitôt conduite à l’hôpital avant d‘être transférée au CHU de Cocody, dans la capitale Abidjan, pour des soins d’urgence. Déjà, à cette étape, l‘émoi et l’indignation s’emparent du pays après que l’affaire a été exposée sur les réseaux sociaux par des bénévoles qui se sont mobilisés pour que soient administrés des soins de qualité à la victime.
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